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Prolifique et cependant peu connu chez nous, Kinji Fukasaku avait 70 ans lorsqu'il livra avec "Battle Royale" son 61ème film, le dernier qu'il eût achevé (voir la critique "Battle royale 2 : requiem"). Un long métrage dont la brutalité, la noirceur et l'énergie firent couler beaucoup d'encre, et qui le feront sans doute encore longtemps, assurant in extremis la notoriété d'un réalisateur chez qui la vieillesse sembla paradoxalement rimer avec une vigueur intacte et une lucidité amère...
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